Présentation

 

PRÉSENTATION

Je m’appelle Anne-Sophie Ligny. J’ai créé la micro-entreprise «La Thérapie d’AMEA»  dont le siège social est situé au 3B 

rue d’Hénin à Boiry-Becquerelle dans le Pas-de-Calais.

Mon  objectif est de proposer un accompagnement par des activités de relation d’aide afin de favoriser et

d’améliorer un bien être physique, psychologique et psychosocial pour les personnes en difficulté de vie.

Je suis complémentaire aux interventions des professionnels (éducateurs, psychiatres, psychologues,

orthophonistes, psychomotriciens, assistantes sociales…). Je travaille sur un ou plusieurs objectifs spécifiques définis

avec les spécialistes.

Je suis est diplômée :

En tant que : 

  • Psychopraticienne en relation d’aide
  • En neurosciences
  • Praticienne en Art-thérapie
  • Intervenante en médiation par l’animal
  • Conseillère en aromathérapie,
  • En Pédagogie  Montessori

La population ciblée

Je propose des séances:

  • En groupe dans des salles communales
  • En accompagnement en famille ou en individuel à domicile ou en visio
  • En structures spécialisées

pour :

  • Les enfants en échec scolaire
  • Les adolescents et les enfants souffrants de phobie scolaire et/ou de harcèlement scolaire
  • Les personnes (enfants ou adultes) souffrants de handicaps (sensoriels, moteurs, intellectuels et/ou mentaux)
  • Les personnes ayant des troubles psychologiques
  • Les personnes âgées ….

Pour réaliser un accompagnement thérapeutique correct, il est primordial de prendre en compte les besoins du

patient. Pour cela, je vais au-delà de la discussion et de la créativité ; le but étant un mieux -être du patient.

Les besoins du patient 

 

 

La relation d’aide est un temps  d’échange favorisant un climat de confiance, de compréhension et l’apport d’un soutien

à la personne autour d’un thème dans le respect de chacun afin d’être authentique, sans crainte du jugement

La relation d’Aide

C’est Carl Rogers, un psychologue américain qui a développé cette notion.

La relation d’aide est une relation thérapeutique au sein de laquelle Anne-Sophie Ligny considérée comme l’aidante est

essentiellement tournée vers l’autre, vers leur vécu leur souffrance.

Il s’agit d’un temps d’échange non verbal de la communication, favorisant un climat de confiance, de compréhension et

l’apport d’un soutien à la personne autour d’un thème dans le respect de chacun afin d’être authentique, sans crainte du

jugement.

 

L’approche centrée sur la personne et l’écoute active :

Il n’est pas possible de parler de relation d’aide sans parler de Carl ROGERS et de son Approche Centrée sur la personne.

Pour lui : “chaque individu est unique. Il détient au plus profond de lui sa propre vérité, sa vie et le tracé potentiel de

son chemin, qu’aucune science du psychisme ne peut enfermer… Il peut accéder à ses ressources s’il se sent compris,

accepté, non jugé.”

 

 Les 7 concepts de la relation d’aide

 

 

 

 

 

 

LA PRESENCE

La relation est d’abord une présence à l’autre, c’est “être là”.

Ce concept peut se définir comme la capacité physique d’être là et la capacité psychologique d’être avec la personne.

Il symbolise à la fois la force qui suscite la confiance et qui rassure, et la douceur que suppose une approche humaine et

bienveillante.

Sa signification lui vient des richesses intérieures de l’aidante qui l’assure, sans même parler, et qui laisse émaner par sa

qualité d’être, calme, espoir et sécurité.

 

L’ECOUTE

L’écoute est souvent synonyme de disponibilité dans le temps, mais aussi de disponibilité intérieure pour être prêt(e) à

accueillir ce que dit l’autre.

Elle est à la fois silence et parole, elle est le silence, mais un silence qui parle de notre ouverture bienveillante à la

demande du malade et de sa souffrance.

Ce n’est pas le silence froid de la neutralité ou le silence vide de la distraction, mais le silence chaleureux qui laisse une

place à l’autre, qui lui donne un espace de vie, un pouvoir, et qui lui communique par là son désir d’écouter.

 

 L’ACCEPTATION

Il s’agit d’un sentiment d’ouverture à l’expérience de l’autre, à sa souffrance et à sa manière d’être sans exigence de

changement, ce qui constitue la première condition à l’établissement d’une relation d’aide. L’aidant(e) reconnait l’aidé

dans toute sa dignité en dépit de son aspect physique, de son caractère, de ses valeurs et de sa conduite, et consent à

s’en occuper de manière active et chaleureuse.

 

LE RESPECT CHALEUREUX 

La relation d’aide repose sur la confiance et le respect.

Par le respect, l’aidante reconnaît dans l’autre une personne humaine investie d’une dignité et d’une valeur très grande.

Elle la perçoit comme un être unique et libre capable de prendre ses propres décisions, même si c’est parfois avec de

l’aide.

La respecter, c’est lui manifester de l’estime, la traiter avec déférence et politesse. C’est l’accueillir dans sa différence et

lui montrer une considération réelle pour ce qu’elle est, indépendamment de ce qu’elle dit.

 

L’EMPATHIE : LE SOCLE DE LA RELATION D’AIDE

L’empathie est un profond sentiment de compréhension de l’aidant(e) qui saisit la difficulté de l’aidé comme si elle

pénétrait dans son univers, comme si elle se mettait à sa place pour se rendre compte de ce qu’il vit et de la façon dont il

le vit, et qui lui apporte le réconfort dont il a besoin, mais sans s’identifier à son vécu et sans en vivre elle -même les

émotions.

La relation d’aide informelle est surtout fondée sur l’empathie et, au cours d’un entretien formel, l’aidante crée un climat

de compréhension empathique, source de confiance, et de connivence thérapeutique, et la base du soutien qu’elle

apporte à l’aidé.

 

L’AUTHENTICITE 

Il s’agit de la capacité de l’aidante à demeurer strictement elle-même au cours de la relation avec l’aidé. Grâce à

l’authenticité, l’aidante reste transparente, spontanée et ouverte, ne cherche pas à présenter une façade artificielle et ne

se prétend pas être l’experte de la situation de l’autre.

Cette capacité est essentielle à l’établissement du climat de confiance et de simplicité nécessaire à la création d’une

saine alliance thérapeutique entre l’aidante et l’aidé.

L’authenticité est souvent confondue avec la congruence. Il existe un lien profond entre ces deux concepts. Une

personne authentique manifeste un certain degré de congruence entre ce qu’elle pense, ressent et exprime.

 

LA CONGRUENCE

Il s’agit de la manière d’être de l’aidant qui manifeste une certaine adéquation entre ce qu’il ressent, ce qu’il pense, ce

qu’il dit et ce qu’il fait, et entre son comportement verbal et son comportement non verbal. En agissant ainsi, l’aidant

crée une harmonie entre ses émotions, ses pensées et ses actions.

Cette harmonie interne lui permet d’exprimer ce qu’il pense de manière thérapeutique (avec une forte énergie positive)

ou de faire ce qu’il croit approprié afin de faciliter une prise de conscience chez l’aidé ou une évolution de la perception

de sa situation.

Nous devons aussi nous interroger : quelles attitudes adopter face à des émotions fortes d’un malade, d’un aidant, d’une

collègue (colère, tristesse, souffrance, …)

 

Le Cycle du contact :

Les séances de l’association vont se dérouler de façon individuelle ou en groupe de 10 personnes maximum

accompagnées par un référent (professionnel).  L’intervenant en médiation animale réalise les activités selon la théorie

de la forme (gestalt théorie), le cycle du contact et en fonction des objectifs à travailler avec les patients.

Exemple dans une séance de médiation par l’animal

Lors de la première phase il y aura:

– Présentation des participants et des animaux s’il s’agit d’une première séance sinon nous demanderons aux

participants de nous rappeler les activités de la séance précédente (prénoms des animaux, noms des légumes utilisés) ;

ce qui permettra de voir ce qui a été mémorisé

– Les participants pourront procéder au découpage des légumes pour les rongeurs

Pendant la deuxième phase, ce sera le plein contact:

  • Nourrir les animaux

  • Caresser et prendre les animaux

  • Exercices d’agility avec les chiens (suivre un parcours…)

Cette phase va durer environ 20 minutes pour des raisons pédagogiques et de qualité d’intervention à la fois pour

l’animal et le bénéficiaire.

La troisième phase consiste à

– récupérer lentement les animaux

– puis pratiquer un jeu pédagogique (puzzle sur les animaux, jeu de domino personnalisé avec nos animaux …)

Afin d’apaiser les participants, les 5 dernières minutes de la séance seront consacrées à la relaxation

( musique zen, bruits de la nature…)

Il va de soi, que le déroulement des phases va s’adapter aux circonstances et à la réaction des participants.

Les séances de la thérapie d’AMEA doivent être réalisées dans un cadre sécurisé et structuré pour les pour les

participants (espace accueillant, réfléchi et adapté qui permet les échanges et les interactions).

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